Je suis désolé de ne pas avoir écrit depuis longtemps, en fait, le moins qu'on puisse dire, c'est que les gars du BPRC sont très occupé.
Je ne pourrais pas vous raconter tout ce qu'on a fait depuis un mois sans faire un article de 15 pages, disons juste que nous préparons du lourd. A dire vrai, si vous êtes ici, c'est bien évidement que vous avez déjà lu les nombreux articles nous concernant parus sur les autres blogs.
Tout est récapitulé sur le myspace.
Et nous n'en sommes qu'au début.
Nico en a marre de bosser comme un nègre dans sa cave pour produire des mixs, toujours plus de mixs, il dit que c'est pas drôle quand il n'a pas une foule de plusieurs centaines (si possible milliers) de personnes devant lui. C'est compréhensible, mais en fait, dans ces moments là, ma moralité de bourgeois luthérien reprend le dessus et je lui sort :
"On a rien sans rien".
Phrase mythique s'il en est, puisqu'après l'avoir entendu dans la bouche de mes grands parents, de mes parents, de mes oncles et tantes, je la fait, à mon tour, passer à la postérité.
La vérité c'est que, tout comme Booba, le BPRC aime l'argent mais, tout comme Booba, le BPRC travaille beaucoup pour l'obtenir. Ce à quoi vous me rétorquerez "c'est facile, quand on a du talent !".
C'est vrai, et surtout quand on fait ce qu'on a envie de faire.
Vous savez ce qui diférencie un très bon dj qui joue dans toute l'Europe d'un très bon dj qui n'arrive pas à se faire connaître?
Réponse : le premier a un bon publiciste.
Et, pour une fois, cette phrase est de moi.
D'ailleurs en tant que publiciste, je devrais mieux contrôler notre image et remplacer la photos du haut de la page par une autre, plus léchée, fruit du nombre impressionnant de séances photo qu'on a fait ces derniers temps.
Mais en fait non, ici, c'est le BPRC, en toute simplicité. On est à la maison.
Ce sera d'ailleurs le thème d'une de nos prochaines séances photo.
Berlin, Paris, Heidelberg, Lille, voilà ce qui nous attend dans les prochains temps. Je ne vous ai pas dit... je suis entré dans l'aire de la technologie, et du boulot à toute heure, puisque je suis Blackberrysé, alors maintenant je peux booker des dates au restau, répondre à des interviews au ciné, planifier des séances photo aux toilettes, en vacances, dans le tram, en Afrique, chez ma mère et même en essayant des chaussures, je peux ... bosser.
Je me suis déjà surpris à beugler dans le casque main libre comme un homme d'affaire de la City pendant le dernier crash boursier.
Je sens que ça sera particulièrement utile pendant les soldes.
Sam aka Magnum aka Samantha